Ville de Valence : Sauver des baleines n’est pas un crime : Libérez Paul Watson !


La Ville de Valence affiche son soutien plein et entier au militant
écologiste Paul Watson, qui a dédié une grande partie de sa vie à la
protection de nos océans et des espèces maritimes menacées, plus
particulièrement les baleines.
Le dimanche 21 juillet 2024, le capitaine Paul Watson a été arrêté dans le
port de Nuuk au Groenland.
Il faisait route vers le Pacifique nord pour barrer la route au plus grand
baleinier jamais construit dans l'histoire de la chasse baleinière : le Kangei
Maru, baleinier japonais inauguré en mai 2024 et véritable « machine de
guerre » conçue pour tuer des milliers de baleines jusque dans les coins
reculés de la planète.
A la suite de cette arrestation, alors qu’on ne sait pas encore si le
Danemark va extrader ou non Paul Watson au Japon, une pétition pour
sa libération a été lancée et d’ores et déjà signée par plus de 540 000
personnes.
Plusieurs élus français, plusieurs villes et de nombreuses personnalités ont
déjà exprimé leur soutien à cette cause.
La condition animale, la biodiversité et l'écologie étant défendues depuis
un peu plus de 10 ans par Nicolas Daragon, Maire de Valence, et son
équipe municipale, la Ville de Valence soutient cette pétition face à la
situation très préoccupante de Paul Watson, et invite la population à
la signer dès maintenant.


Cette pétition est accessible en ligne sur
https://seashepherd.fr/petitions/petition/10/ ou physiquement, via un
registre de signatures disposé à l’accueil de l’Hôtel de Ville de Valence.
« Nous souhaitons aussi bien combattre l’injustice que défendre la vie
sous toutes ses formes » rappelle Nicolas Daragon, Maire de Valence.
Qu’il s’agisse des animaux domestiques abandonnés lâchement sur les routes des vacances ou des espèces
menacées par la prédation de l’Homme comme c’est le cas pour les baleines, il nous incombe collectivement de
préserver l’existant et de rappeler que l’Humanité se joue aussi sur un rapport d’équilibre que les êtres humains
doivent respecter avec les autres espèces de notre planète ».